But de l’école de Terrain
Les études de terrain sont la principale methode pour obtenir les données geologiques. Les études de terrain doivent avoir un but, même s’il est stricktement académique. L’étude peut être très simple en s’interessant à un seul affleurement ou un profil de carrière à ciel ouverte. Ces études simples peuvent inclure un sketch (esquisse), quelques photos numériques, des coordonnées GPS, des notes sur les relations entre les roches, et/ou collection de quelques échantillos représentatifs. D’autres études de terrain peuvent être complexes et demandent beaucoup de temps sur terrain en utilisant un échantillonnage systematique et méthodique de roches, de sol et même de l’eau avec une cartographie détaillée par les ordinateurs PC.
La cratographie géologique constitue l’ossature de l’étude sur terrain et elle est fréquement mentionnée comme la géologie du terrain (Field Géology). La cartographie permet de trouver les relations entre les roches et les autres interrets géologiques. Malgrès la technologie avancée, plusieurs caractéristiques géologiques très importantes comme les plis et les failles ne peuvent être rencontrés par les géologues que sur terrain aucours de la cartographie d’une région. Quelques dépôts de minerais peuvent être rencontrés avec des outils geophysiques aéroportés (airborne geophysics) mais en réalité ils sont très peu, c’est le géologue sur terrain qui fait la découverte. Ultimement, les cartes peuvent apporter beaucoup d’informations dans ce contexte.
La cartographie decend aux observations dans un affleeurement individuel comme étant le principe fondamental de la géologie de terrain. Les observation et les interprétations sont faites, une hypothèse vient se developper, et testée par plusieurs moyens disponibles. L’affleurement individuel va être l’aspect le plus rudementaire de la cartographie. Aucours du developpement de la carte, des relations complexes sont revelées. Les relations complexes peuvent exister lorsque des processus multiples agissent simultanément ou aucours des évenements géologiques divers. Parfois, les caractéristiques géologiques peuvent être aussi complexes qu’aucune conclusion ne peut être trouvée. Le soulèvement d’un dome au Park National à Canyonlands aux USA est considéré comme un dome de sel éffondré par une école de terain et comme un site d’impact de météorite par une autre école. D’autres traits complexes sont compris seulement lorsque une cartographie détaillée de terrain est réalisée et interprétée.
Planification de l’école de terrain
La sortie deterrain possède trois phases :
-Planification/Recherche
-Observation/Cartographie/Collection
-Rédaction du rapport
Chacune de ces phases aboutit à la suivante, et la rédaction du rapport doit commencer aucours de la phase de planification et de recherche.
La planification et la recherche – c’est une phase critique comme les deux autres phases. Ici, le sujet de la sorite doit être déterminé. Une destination spécifique est identifiée et le but d’être là-bas est clairement indiqué. Sans destination ni but le géologue tombe dans le chaos. La recherche est aussi critique. Beaucoup de travail peut être déjà fait et disponible aucours d’une recherche prononcée ; quelques cartes peuvent être déjà faites et aussi quelques carottes avec les essaies chimiques peuvent être aussi disponibles. Le jugement des données récupérées de la recherche peut être difficile. Des professeurs brillants et des équipes de recherche ont été fautifs dans plusieurs occasions. Parfois le chercheur n’était pas objectif. Le monde a été considéré depuis longtemps comme plan, puis considéré comme sphère, et maintenant on connait que les deux hypothèses sont fausses. Aucours du temps les techniques et les technologies se changent et permettent aux géologues de voir les données avec plusieurs approches. Soyez prêt pour accepter les données et de les tester pour s’assurer de leurs validité.
Observation/Cartographie/Collection d’échantillons – Cette phase c’est ce que les géologues l’appellent « les boots sur les roches ». les affleurement sont observés. Le type de roche est identifié. Des thèmes specifiques comme les crystaux et les fossiles sont scrutés. A coté des petits détails, les géologues doivent chercher l’évident comme glissement de terrains, gros blocs de granite sur une couche de roches mafiques, cours d’eau ou structures d’écoulement d’eau le long de la direction et du pendage. La première chose à faire est de cartographier ce qui est en-place ou de corps géologiques qui sont partie de la couche elle-même.
Prise de notes dans le carnet de terrain ou bloc-note
Les caractéristiques géologiques rencontrées doivent être annotées dans le bloc note (notebook). Le géologue prend les notes sur le lieu d’interet pour assurer que toutes les données sont proprement collectionnées. Les notes prises complètent la carte géologique et vont servir comme une base pour la rédaction du rapport final. Les bonnes notes sont claires et n’ont pas d’abbréviations non-expliquées. Des abréviations non ordonnées faite par un géologue qui a réaliser plusieurs observations pendant des decenies peuvent laisser le travail sans utilité. Les notes prises par le géologue peuvent être d’ordre instrumental dans le developpement du projet en cours ou des années plutard. Les géologues doivent développer des approches systématiques pour la prise de notes assurant la collecte de données à chaque affleurement ou trait géologique rencontré. Un exemple de sujet à couvrir :
· Les numéros qui corrèlent les notes aux traits dessinés sur la carte
· Le nom des Formations (s’il y a)
· Localisation spécifique
· Les caractéristiques comme l’épaisseur
· Le nom de la roche
· Description de la roche—la description doit être aussi systématique et s’interesse aux propriétés des roches et des minéraux
o La couleur
o Le type (ignée/sédimentaire/métamorphique)
o Texture
o Foliation
o Plissements
o Clivages
o Eclats
o Dureté
o Trace
o Magnétisme
o Luminance
· Un sketch des traits géologiques peut être réalisé ou une photo numérique prise. Dans les deux cas une echelle (règle ou pièce de monnaie) doit être introduite aussi bien que l’orientation de l’image.
· Si un échantillon est prélevé, un numéro identifiant l’échantillon doit être annoté dans le bloc note.
Prélevement manuel d’échantillons.
La raison pour prélever des échantillons est de donner le géologue l’occasion pour mieux examiner la roche au camping ou au labo. Beaucoup peut être discerné avec la microscope petrographic polarisant aussi bien qu’avec la cristallographie au rayon X et les tests géochimiques.
La standardisation du prélevement des échantillons doit être établie avant d’aller au terrain—les sujets à standardiser sont :
· Les méthodes de numérotation – lorsque plusieurs géologues sont impliqués
· La taille de l’échantillon prélevé
· Le formation en gros
· Indication de l’orientation
Méthodes de numérotation—la méthode de numérotation des échantillons doit correspondre aux notes et doit relier la roche au secteur étudié. Les boites de roches dans le labo labellés 1, 2, 3 n’a aucun sens. Si l’échantillon est prélevé à « Jebel Stah », la numérotation possible sera JS 2d. la lettre « d » peut représenter le 4ème échantillon, prélevé à l’affleurement « 2 » à « Jebel Stah ». le numéro doit être annoté avec un marqueur permanent. Les roches sombres sont teintées par le blanco surlequel on met le numéro. Les roches phanéritique sont ensachetées dans des sacs en plastique ; le numéro est plutard ecrit sur l’étiquette collé sur la roche.
Taille de l’échantillon—les roches avec une matrice homogène peuvent être prélevées à la taille de la poignée. Les roches avec de gros cristaux ou des grains grossiers necessitent un échantillon plus grand.
Echantillon représentatif – le prélevement d’un seul grand cristal de pyrite peut ne pas représenter la formation calcaire qui contient peu de cristaux. Dans ce cas, le prélevement d’un échantillon de calcaire doit être prudent et aussi doit contenir des crystaux de pyrite.
Indication de l’orientation – les roches qui possèdent plissements et des foliations ont besoin d’avoir leurs orientations indiquées. Le haut et le bas de l’echantillon doit être indiqué clairement. Si ceci est difficile, marquer une bande tout autour la roche montrant le « Sommet » et l’emplacement du prélevement.
· Les numéros qui corrèlent les notes aux traits dessinés sur la carte
· Le nom des Formations (s’il y a)
· Localisation spécifique
· Les caractéristiques comme l’épaisseur
· Le nom de la roche
· Description de la roche—la description doit être aussi systématique et s’interesse aux propriétés des roches et des minéraux
o La couleur
o Le type (ignée/sédimentaire/métamorphique)
o Texture
o Foliation
o Plissements
o Clivages
o Eclats
o Dureté
o Trace
o Magnétisme
o Luminance
· Un sketch des traits géologiques peut être réalisé ou une photo numérique prise. Dans les deux cas une echelle (règle ou pièce de monnaie) doit être introduite aussi bien que l’orientation de l’image.
· Si un échantillon est prélevé, un numéro identifiant l’échantillon doit être annoté dans le bloc note.
Prélevement manuel d’échantillons.
La raison pour prélever des échantillons est de donner le géologue l’occasion pour mieux examiner la roche au camping ou au labo. Beaucoup peut être discerné avec la microscope petrographic polarisant aussi bien qu’avec la cristallographie au rayon X et les tests géochimiques.
La standardisation du prélevement des échantillons doit être établie avant d’aller au terrain—les sujets à standardiser sont :
· Les méthodes de numérotation – lorsque plusieurs géologues sont impliqués
· La taille de l’échantillon prélevé
· Le formation en gros
· Indication de l’orientation
Méthodes de numérotation—la méthode de numérotation des échantillons doit correspondre aux notes et doit relier la roche au secteur étudié. Les boites de roches dans le labo labellés 1, 2, 3 n’a aucun sens. Si l’échantillon est prélevé à « Jebel Stah », la numérotation possible sera JS 2d. la lettre « d » peut représenter le 4ème échantillon, prélevé à l’affleurement « 2 » à « Jebel Stah ». le numéro doit être annoté avec un marqueur permanent. Les roches sombres sont teintées par le blanco surlequel on met le numéro. Les roches phanéritique sont ensachetées dans des sacs en plastique ; le numéro est plutard ecrit sur l’étiquette collé sur la roche.
Taille de l’échantillon—les roches avec une matrice homogène peuvent être prélevées à la taille de la poignée. Les roches avec de gros cristaux ou des grains grossiers necessitent un échantillon plus grand.
Echantillon représentatif – le prélevement d’un seul grand cristal de pyrite peut ne pas représenter la formation calcaire qui contient peu de cristaux. Dans ce cas, le prélevement d’un échantillon de calcaire doit être prudent et aussi doit contenir des crystaux de pyrite.
Indication de l’orientation – les roches qui possèdent plissements et des foliations ont besoin d’avoir leurs orientations indiquées. Le haut et le bas de l’echantillon doit être indiqué clairement. Si ceci est difficile, marquer une bande tout autour la roche montrant le « Sommet » et l’emplacement du prélevement.
Prise de Photos et utilisation d'appareils photo numérique